Le PDG de France Télécom sème plus que le doute....
Posté : mer. 1 févr. 2012 12:09
... pour le plus grand bonheur de grande presse... la conclusion des Echos est là pour en témoigner.
Est - ce à dire que l' hémorragie n'est pas terminée?
* * *
Stéphane Richard réplique vertement à Free
(...) L'équation économique de Free n'est pas liée au contrat d'itinérance signé avec Free Mobile, s'est par ailleurs défendu Stéphane Richard. Critiqué par ses pairs pour avoir offert un pont d'or à l'opérateur, il a assuré que les conditions financières de ce contrat « ne confèrent absolument aucun avantage à Free en termes de droit d'accès sur le réseau » (...)
Une « petite asymétrie pour la voix » est pour lui envisageable, afin de favoriser un nouvel entrant, mais selon Stéphane Richard, pas dans le SMS. Selon lui, « le modèle économique de Free est basé sur l'espoir d'un terminaison élevée à 2,85 centime le SMS. » (...)
Stéphane Richard a également cherché à semer le doute sur la pérennité des tarifs agressifs de son concurrent : « Si par malheur Free obtenait ce niveau d'asymétrie sur les SMS, cela sera provisoire. Quelle sera la soutenabilité du modèle de Free quand il n'y en aura plus ? » Des propos propres à refroidir l'ardeur des nouveaux freenautes, mais aussi à appuyer sa thèse d'un contrat d'itinérance qui ne facilite pas la tâche à Free.
http://www.lesechos.fr/entreprises-sect ... 282923.php
Est - ce à dire que l' hémorragie n'est pas terminée?
* * *
Stéphane Richard réplique vertement à Free
(...) L'équation économique de Free n'est pas liée au contrat d'itinérance signé avec Free Mobile, s'est par ailleurs défendu Stéphane Richard. Critiqué par ses pairs pour avoir offert un pont d'or à l'opérateur, il a assuré que les conditions financières de ce contrat « ne confèrent absolument aucun avantage à Free en termes de droit d'accès sur le réseau » (...)
Une « petite asymétrie pour la voix » est pour lui envisageable, afin de favoriser un nouvel entrant, mais selon Stéphane Richard, pas dans le SMS. Selon lui, « le modèle économique de Free est basé sur l'espoir d'un terminaison élevée à 2,85 centime le SMS. » (...)
Stéphane Richard a également cherché à semer le doute sur la pérennité des tarifs agressifs de son concurrent : « Si par malheur Free obtenait ce niveau d'asymétrie sur les SMS, cela sera provisoire. Quelle sera la soutenabilité du modèle de Free quand il n'y en aura plus ? » Des propos propres à refroidir l'ardeur des nouveaux freenautes, mais aussi à appuyer sa thèse d'un contrat d'itinérance qui ne facilite pas la tâche à Free.
http://www.lesechos.fr/entreprises-sect ... 282923.php